L’orchestre symphonique de la B.B.C.

L’orchestre symphonique de la B.B.C naît dans la capitale de l’Angleterre en 1930. Initialement, sa mission est de faire des concerts qui seront diffusés en direct sur la radio B.B.C.

Progrès de la mission de l’orchestre

L’orchestre symphonique de la B.B.C. va jouer des rôles différents avec l’évolution de la technologie. Pendant la seconde guerre mondiale, cette formation musicale donnera de nombreux concerts en public. Des concerts qui ne seront pas radiodiffusés. Aujourd’hui, l’orchestre symphonique de la B.B.C. a un style de gestion et des activités semblables aux grands orchestres de Londres tels que : l’orchestre philharmonique de Londres, l’orchestre symphonique de Londres, l’orchestre royal philharmonique et la philharmonie.

Cependant, l’orchestre symphonique de la B.B.C. bénéficie du financement étatique. Il n’est donc pas perpétuellement à la recherche de nouveaux financements. Cela lui permet de diversifier considérablement son répertoire en jouant par exemple des œuvres peu populaires. Cet orchestre peut avoir l’audace de proposer du contenu qui ne sera pas forcément immédiatement connu. Cela permet à cette formation musicale de permettre au public de découvrir certaines œuvres peu jouées.

Quels chefs ont dirigé l’orchestre symphonique de la B.B.C.

Tout d’abord, il y a eu le monopole des chefs d’origine anglaise. Cette période a duré 30 ans. Ainsi, Adrian Boult a tenu la baguette entre 1930 et 1950. Malcolm Sargent a exercé en tant que chef de 1950 à 1957. Rudolf Schwarz fut le chef de cet orchestre de l’année 1957 à l’année 1963.

L’orchestre symphonique de la B.B.C. devient plus qu’un orchestre anglais lorsque Antal Dorati occupe entre 1963 et 1967 la fonction de chef d’orchestre. Pendant tout son mandat, il va insuffler de nouvelles techniques de jeu, un sens maniaque de l’exécution et un goût prononcé de la répétition. Lorsque Colin Davis reprend le flambeau entre 1967 et 1971, il trouve une formation capable de jouer tous les répertoires musicaux.

Effectivement, l’orchestre a acquis depuis plusieurs années l’habitude de jouer lors des “concerts promenade” au Hall Royal Albert. Cette manifestation culturelle a une forte notoriété et de grandes singularités à tous points de vue. Ce festival impose d’avoir simultanément l’endurance, la méticulosité et la capacité d’adaptation pour tenir, car sa durée met vraiment à rude épreuve les orchestres qui y participent.